Sans rentrer dans les détails voici les albums que j’ai bien apprécié ces derniers temps :
Ke$ha : animal .
J’ai découvert Kesha un peu comme tout le monde à travers le tube de l’été 2009 de Flo-rida , et ça ne me donnait pas vraiment envie de l’entendre en Solo. Pour son premier single, elle sonne comme une Lady Gaga en plus pouffe (difficile à imaginer non ?) et un poil plus hip hop. Au final, son album est comme prévu assez pourri mais il y a quelques tubes pop très sympas, faciles, qui surnagent. Ils ne passeront sans doute pas l’hivers, mais ça met de bonne humeur, donc autant profiter.
Ulrich schnauss : far away trains passing by
J’ai découvert Ulrich Schnauss l’année dernière suite à la bataille de copyright l’opposant à Guns and roses. Il y aurait dans Chinese Democracy des « emprunts ». Que ce soit vrai, ou pas peu importe, ça m’a permis de découvrir cet artiste qui évolue dans un style chill out, shoegaze, IDM et non rock comme le procès pouvait le laisser penser. Ca faisait une éternité que je n’avais pas eu sous la main de bon album dans ce style, et depuis le dernier Boards of Canada qui m’avait un brin déçu je commençait à désespérer de trouver un jour un bon disque de musique électronique planante.
Dandy warhols : 13 tales of urban bohemia
Je ne sais pas quand est ce que j’ai commencé à me braquer contre les années 70. Est-ce que c’est à cause des types que je n’aimais pas et qui étaient à fond dans led zepplin et dans les doors ? En tout cas j’ai un problème avec la musique de cette période (hormis la soul). Ca ne me serait jamais venu à l’idée que je pourrais tomber amoureux d’un disque de musique Psychédélique.
Qu’est ce qui a rendu ce miracle possible ? Tout d’abord les dandy wharhols si ils pratiquent ce style restent un groupe des années 90 et 2000 et n’hésitent pas a enregistrer leurs albums avec des moyens modernes. On trouve dans leur disque d’autres influences à doses homéopathiques, mais ce sont sans doute elles qui m’ont permis de traverser le rubicon.
Je connais cet album depuis des lustres, à chaque écoute je suis enchanté et je me demande pourquoi je ne l’écoute pas plus souvent, mais sitôt fait je m’empresse de refouler ces sentiments et pensées.
jon Hopkins : Opalescent
J’adore amazon.co.uk ! Et les amazoniens ! Grâce à eux et à leur commentaires je peu découvrir bien des perles. J’en viens presque à ne plus lire la presse, et à me concentrer sur les avis des internautes (c’est peut être ça Laurie le moyen de trouver la musique du peuple). Alors que je mettais le disque d’Ulrich Schnauss (voir plus haut) dans mon panier , j’ai lu les commentaire de personnes qui comme moi aiment cet album, et parmi eux un type disait que ça lui faisait penser à Jon Hopkins. Et donc voila, belle découverte, un autre album de musique éléctronique planante. Un artiste obscur dont personne n’a entendu parler … en fait sans le savoir des millions de personnes ont été en contact avec lui sans le savoir vu qu’il s’est occupé des sons des claviers du dernier coldplay, et que Chris Martin et sa bande ont eu la gentillesse d’utiliser de cours extraits de deux titres sur des intros et interludes.
Ke$ha : animal .
J’ai découvert Kesha un peu comme tout le monde à travers le tube de l’été 2009 de Flo-rida , et ça ne me donnait pas vraiment envie de l’entendre en Solo. Pour son premier single, elle sonne comme une Lady Gaga en plus pouffe (difficile à imaginer non ?) et un poil plus hip hop. Au final, son album est comme prévu assez pourri mais il y a quelques tubes pop très sympas, faciles, qui surnagent. Ils ne passeront sans doute pas l’hivers, mais ça met de bonne humeur, donc autant profiter.
Ulrich schnauss : far away trains passing by
J’ai découvert Ulrich Schnauss l’année dernière suite à la bataille de copyright l’opposant à Guns and roses. Il y aurait dans Chinese Democracy des « emprunts ». Que ce soit vrai, ou pas peu importe, ça m’a permis de découvrir cet artiste qui évolue dans un style chill out, shoegaze, IDM et non rock comme le procès pouvait le laisser penser. Ca faisait une éternité que je n’avais pas eu sous la main de bon album dans ce style, et depuis le dernier Boards of Canada qui m’avait un brin déçu je commençait à désespérer de trouver un jour un bon disque de musique électronique planante.
Dandy warhols : 13 tales of urban bohemia
Je ne sais pas quand est ce que j’ai commencé à me braquer contre les années 70. Est-ce que c’est à cause des types que je n’aimais pas et qui étaient à fond dans led zepplin et dans les doors ? En tout cas j’ai un problème avec la musique de cette période (hormis la soul). Ca ne me serait jamais venu à l’idée que je pourrais tomber amoureux d’un disque de musique Psychédélique.
Qu’est ce qui a rendu ce miracle possible ? Tout d’abord les dandy wharhols si ils pratiquent ce style restent un groupe des années 90 et 2000 et n’hésitent pas a enregistrer leurs albums avec des moyens modernes. On trouve dans leur disque d’autres influences à doses homéopathiques, mais ce sont sans doute elles qui m’ont permis de traverser le rubicon.
Je connais cet album depuis des lustres, à chaque écoute je suis enchanté et je me demande pourquoi je ne l’écoute pas plus souvent, mais sitôt fait je m’empresse de refouler ces sentiments et pensées.
jon Hopkins : Opalescent
J’adore amazon.co.uk ! Et les amazoniens ! Grâce à eux et à leur commentaires je peu découvrir bien des perles. J’en viens presque à ne plus lire la presse, et à me concentrer sur les avis des internautes (c’est peut être ça Laurie le moyen de trouver la musique du peuple). Alors que je mettais le disque d’Ulrich Schnauss (voir plus haut) dans mon panier , j’ai lu les commentaire de personnes qui comme moi aiment cet album, et parmi eux un type disait que ça lui faisait penser à Jon Hopkins. Et donc voila, belle découverte, un autre album de musique éléctronique planante. Un artiste obscur dont personne n’a entendu parler … en fait sans le savoir des millions de personnes ont été en contact avec lui sans le savoir vu qu’il s’est occupé des sons des claviers du dernier coldplay, et que Chris Martin et sa bande ont eu la gentillesse d’utiliser de cours extraits de deux titres sur des intros et interludes.
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