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Articles

Affichage des articles du janvier, 2007

The oc – new port beach (à retravailler)

J’aime beaucoup cette série. J’adore les personnages, Seth souvent complètement à côté de la plaque, le couple des Cohen, prototype des parents idéaux, Marisa petite fleure fragile, la pétulante Taylor, en fait le personnage que j’apprécie le moins , c’est Ryan, qui est juste sympathique. Il y a de belles scènes d’amitié, c’est le genre de truc qui me font craquer, voir des gens trainer ensemble, tranquillement. Les adolescents se soucient de leur amis, et font leur possible pour leur venir en aide même si ça se fait à leur dépend, ils tendent la main même a leurs anciens ennemis (intégration de Luke dans le groupe). J’aime bien la manière dont sont traité les jeux vidéos, non comme aliénants, au contraire, ça permet de s’occuper les main en discutant avec ses potes. Un passe temps collectif ou même les filles prennent part. J’étais bloqué dans mes cliché, et dernièrement j’ai eu l’occasion de voir un groupe de jeune dont les caractéristiques et l’attitude envers les jeux vidéos etait

Debra Fine : Le grand art de la petite conversation

Je ne peux pas vous dire, « oui sa méthode marche c’est génial achetez » ou le contraire. Je n’ai pas assez pratiqué ses conseils pour pouvoir me prononcer. Pour moi l’enjeux étais ailleurs : modifier ma façon de regarder le problème. L’auteur commence son livre en expliquant les affres de la personne qui ne sais comment entamer ni faire durer de petites conversations. En lisant ça je me suis rendu compte que j’étais bien loin d’être seul à éprouver ce genre de difficulté, et comme beaucoup de personnes dans mon cas, j’ai vu l’impact de cette incapacité sur ma façon d’envisager le rapport avec les personnes que je ne connais pas trop, et sur ma philosophie de vie. La personne qui a du mal à engager la conversation, est souvent là posée à attendre qu’on lui adresse la parole, elle a tendance à se sentir mal à l’aise dans bien des occasions (celles ou au lieu de parler il choisit de se taire). Les risques que l’on prend en essayant d’engager la conversation sont en fait largement contreb

alice miller

Je viens de finir la connaissance interdite d'Alice Miller, c'est le deuxième livre de cet auteur que je lis en l'espace d'un mois. Cette femme est une ex-psychanalyste qui s'est spécialisé dans la lutte contre les violences parentales. . On lui reproche souvent le côté obsessionnel de son œuvre, moi je vois dans sa manière d'exprimer ses thèses, l'empreinte de l'isolement. Elle a du lutter seule pendant longtemps contre les institutions. Même si le public s'est montré (assez réceptif à son message), le milieu des professionnels de la santé a fait preuve de résistances terribles. . L'élément central de son œuvre c'est que l'enfant naît naturellement bon, mais pleins de besoins, dans un état de dépendance absolue. Cette exigence d'amour et d'attention peut être très mal vécue par les parents. Le plus gros besoin qu'a un enfant c'est de croire que ses parents l'aime (de manière inconditionnelle, sinon ce n'est qu'

Metal head

Je me voyais bien faire un article sur le métal et les métalleux (euses), mais finalement même si j'écoute ce style de musique depuis la fin de mes années collèges, je ne peux me targuer d'être un expert en la matière, et je pense que mon regard sur le genre a ses limites. Donc je parlerais avant tout en mon nom, et même si j'ai tendance à exprimer mes idées comme si elles étaient des vérités révélées, elles ne sont que mon point de vue. Ce que j'aime dans le métal avant tout le décorum, c'est l'énergie formidable qui s'en dégage, une intensité incroyable. Je n'ai rien trouvé de comparable dans les autres styles musicaux. Il est possible que ce soit juste un phénomène de résonance, a mon avis on est plus ou moins réceptif à un style musical si les émotions qu'il véhicule sont similaires à l'énergie qui nous meut, consciemment ou inconsciemment. Pour moi l'émotion la plus présente dans le métal, c'est la colère, la haine. On a tendance à v

sin city

Pour sin cityJ'ai l'impression d'être un des seuls qui n'a pas aimé ce film. Pas grave, mon avis n'engage que moi et non la qualité du film.Je n'ai pas passé un mauvais moment au cinéma, j'ai ri par moments et eu quelques shoot d'adrénaline de ci de là. Je suis sorti de la salle, sans avis, sans grande impression. Je n'ai pas une idée très claire de ce que je reproche au film. J'ai l'impression que j'ai vu un dessin animé, pas un film. L'utilisation, d'acteur n'apporte pas réellement de vie, de chaire au film. Il manque quelque chose, d'invisible et pourtant essentiel, une ame, qui aurait donné à cette compilation de clichés et de gimmicks un semblant de vie.

depeche mode : exciter

Depeche mode : ExciterC'est le dernier album en date de dépeche mode, un groupe dont je suis vraiment fan. Il l'on sorti après 20 ans d'existence. Ce que j'apprécie chez ces musiciens c'est leur apptitude a conscillier réussite artistique et commerciale. Ils sont capable d'une musique d'une grande sensibilité, aux mélodies très accrocheuse. La forme est à la hauteur du fond et ça c'est quelque chose. A la base c'est un groupe d'éléctro pop, donc pas très orienté guitare, batterie, ici l'essentiel est programmé... c'est un peu le croisement du meilleur de la pop et du nec plus ultra de l'electro.Après un album " ultra ", qui m'avait laissé sur ma faim, il sont revenu au top, avec un album varié. La production de mark bell (LFO, bjork), est l'ecrin révé pour ces petits bijoux de pop, mais souvent plus que ça, les sonorités programmées transcendent quelques titres dont la simplicité aurait pu faire tache.Best cuts : shi

missy elliott : supa dupa fly

Pour finir aujourd'hui, l'artiste qui fait le trait d'union entre le rap et la R'n B ,missy elliott. J'adore " supa dupa fly ", son premier album et " so addictive " son troisième, les deux derniers sont trop inégaux.C'est une rappeuse très sympathique et novatrice, elle a avancé main dans la main avec timbaland un producteur phare de R'nB (justin timberlake, aaliyah,destiny child), jusqu'à " under construction " et son hit : work it. Maintenant elle diversifie les intervenant, comme les neptunes (pour l'album à venir). Il y a vraiment une identité musicale distincte pour chaque album, pas de répétition, missy reste à la pointe ! la recherche sur les sonorités est vraiment génial, l'inspiration vient autant des vieux titres de soul, que de la musique électronique IDM pointue d'Angleterre ou de la house. Les featurings sont toujours au top, aaliyah, busta rhymes pour les premier albums, jay Z , method man , fabolo

the pharcyde : labcabincalifornia

Bien puisque on est aux disques de rap de 1995, ça serait dommage de ne pas parler de " labcabincalifornia " du groupe west coast : the pharcyde. C'est le seul album de ce groupe que j'aime vraiment, " bizzare ride to the pharcyde ", " plain rap ", ne m'ont pas laissé un souvenir impérissable. Labcabincalifornia, c'est un album qui respire le soleil et la bonne humeur, album idéal pour les barbecue cet été, entre un disque de sublime(avec lesquels ils ont collaboré pour le hit " summer time ") et un disque de sugar ray.

l'homicide volontaire : l'album de rap français

De manière générale, je n'aime pas le rap français, le fait de comprendre les paroles me crispe. En anglais tu peux zaper les paroles, mais là impossible. Le problème avec le rap c'est que bien souvent les paroles font vraiment pitié. C'est toujours les mêmes histoires de quartier , des vindictes contre la police et le gouvernements, des expressions de colères par des gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez (ou de leur quartier). La plus part des Mcs , ne sont pas très éduqués, et délivrent des paroles aussi pauvres sur le fond comme sur la forme. Le seul groupe de rap français auquel j'ai accroché c'est assassin, et tout particulièrement " l'homicide volontaire ". Assassin, c'est d'abord rockin squatt le Mc principal, puis il y a quelques Mc qui gravitent autour de lui, intervenant sur quelques titres. Rockin squatt, c'est le frère de vincent cassel, pour ce qui est de l'état civil. Il n'a pas vécu dans une vieille

gravediggaz : six feet deep

Toujours dans le délire, mais en plus second degrés,et moins urbain : le premier album de gravediggaz. Quatre membres, 2 mc/ producteur stars : RZA (wu-tang) et Prince paul (de la soul, Mc paul barnum) et deux Mc tout court. Comme son nom le laisse présumer, gravedigazz = creuseur de tombe, les paroles commes le son sont bien sombres, mais juste en apparence, car c'est plein de second degrés, et d'humour noir, finalement c'est un album quasi parodique. Bien sur il faut faire un minimum d'effort pour comprendre les paroles.

Genius/ GZA : liquid swords

Bon j'ai bien descendu ce vieux booba, mais je ne deteste pas le hip hop pour autant loin de là. J'en écoute régulièrement, mais ce n'est pas le rap de skyrock. Je ne suis pas fan des albums du wu-tang en tant que groupe, pas qu'il soit mauvais loin de là, mais ça fait trop de Mc en même temps pour moi. Par contre, j'aime bien le travail solo de quelques membre du groupe, les productions de RZA (par contre je n'aime pas ses albums), le premier album de Method man, et les disques de GZA/ genius.Le premier album de GZA/ genius diffusé en France, " liquid sword " (1995) a été une véritable baffe pour moi. Les productions sont sombres à souhait, le flow nerveux et les lyrics incisives. A la base je viens du métal, j'aimais bien les musiques, ténébreuses un brin tourmentées, là j'ai été servi.

Booba un petit garçon perdu

Certains de mes élèves m'ont parlé de booba, le rappeur français. Personnellement je ne suis pas du tout rap français, autant j'aime bien quelques artistes hip hop us, autant les paroles et le son du hip hop français ne m'excitent gère, mais bon j'ai eu l'occasion d'emprunter "panthéon" à la médiathèque d'Argenteuil, ça ne coûtait rien d'essayer. Je l'ai écouté "sur mon baladeur, et ça m'a donné furieusement d'écrire une chronique assassine. Il y a beaucoup à dire sur cet album, et sur booba en général, mais quand j'ai regardé le reportage sur de DVD de panthéon, je me suis dis que j'avais un peu mal cerné le personnage et qu'il me faudrait changer mon fusil d'épaule. Quand on critique durement une personne, en général on se sent très éloigné d'elle, du genre : on a rient en commun. La plus part du temps lorsque l'on apprend a connaître une personne, sa vie, son parcours, ses échecs, ses souffrances : le

" OK computer " Radiohead

La première fois que j'ai écouté cet album, je ne connaissait de Radiohead juste ce que j'avais entendu à la radio : le tube " creep ". Bien des gens autour de moi adoraient ce disque, les critiques dans les journaux étaient dithyrambiques. La première écoute n'a pas suscité beaucoup d'émotion, j'étais surpris par la production, la manière dont sont agencés les morceaux, juste un peu curieux. Ça me surprend, quand j'y repense. Quand je vois toutes les émotions qu'il m'a procurées, écoute après écoute. Il y a des albums qui prennent leur temps, il me faut un temps pour les apprivoiser, mais l'effort (petit), en vaut la peine. Maintenant quelques années après, c'est pour moi un des trois meilleurs album de rock (voir album tout court) des années 90. C'est un album qui transcende le rock, il y a de la mélodie, des émotions qui te prennent aux tripes (j'ai souvent pleuré en écoutant cet album). La production est hors norme, on est l

Milan kundera : " la vie est ailleurs " 1973

Milan Kundera fait partie des quelques auteurs qui ont bouleversés ma vision de la littérature. Il a un style trés travaillé, et à la fois facile (et agréable) à lire. Son rapport à la narration est trés ludique (il se place comme un savant qui vous présenterez son laboratoire, et qui illustrerais ses idées par des mises en situations de ses cobayes, les personnages de ses romans). La profondeur de son propos, la précision dans la description des états d'âmes de ses personnages (si réalistes) , les enjeux historiques , humains, philosophiques donnent à ses oeuvres une densité hors du commun. Il a aussi les défauts de ses qualités, au bout de quatre ou cinq ouvrages on sature, devant le coté mécanique, et la récurrence des termes abordés. Voici un petit programme de lecture : - " le livre du rire et de l'oubli ", un recueil de nouvelles, qui se lit trés rapidement et qui est une bonne introduction à son oeuvre. - " la plaisanterie ", mon préféré, le plus lumi

(my) life is music 5

Après le bac J'ai écouté progressivement, de plus en plus de musique calme, plus mélodique et moins torturée. Je me suis progressivement calmé. Mais le problème c'est que je suis rentré dans une phase on je pensait que les musiques que j'écoutais auparavant étaient responsable de ma colère, et qu'il me fallait les balancer pour mieux me sentir. Mais la musique n'était qu'un indicateur, un exutoire, la colère, et la souffrance, elles, demeurent. J'ai écouté plus de d'artiste femme, tori amos, suzanne vega, natacha atlas. D'une certaine manière ça m'a appaisé. Je suis toujours trés fan de tori amos.Tori amos : to venus and back C'est un album assez atypique dans la discographie de cette artiste. Il est trés élctronique, trés travaillé au niveau de la post production. Les mélodies, et le chant sont comme toujours au top niveau, mais cet album a vraiment un feeling différent, trés aquatique. Bon les ptit loup, c'est tout pour aujourd'hui

(my) life is music 4

LycéeJ'ai écouté pas mal de gothique, pendant longtemps. Pas des trucs comme marylin manson qui pour moi est du métal de base , avec pas mal de pose et de peinture (mais j'adore son album " mechanical animals ", le reste ce n'est pas ma tasse de thé). Pour moi le gothique, c'est de la musique en mode mineur, triste et lugubre, ou les chanteurs passent leur temps a venter une vision romantique du suicide, de l'amour deçu, de la depression. J'aimais beaucoup " type o negative " et " paradise lost " (icon et host sont des chefs d'oeuvre absolu du genre) . Avec le recul, j'ai l'impression, que le métal et le gothique sont deux faces de la même piéce : " je ne suis pas ok, pas assez cool, ou intelligent, séduisant ( i.e. je suis une merde) ".Le metal, c'est mais vous ne valez pas mieux que mois, allez tous vous faire =p$m^lùf^l , Alors que le gothique, c'est plus : il n'y a pas d'espoir, je suis tris

(my) life is music (3)

Au lycée les choses se sont considérablement accélérées. La musique a pris une place centrale dans ma vie. C'était mon exutoire, ma manière de vivre, d'exprimer cette colère qui me dévorait. De manière paradoxale, à mesure que je m'intégrais, je suis devenu progressivement un peu plus sombre et plus agressif intérieurement pendant quelques années. La musique était une sorte de catalyseur, un indicateur. J'ai écouté des groupes de plus en plus agressifs. Toujours du métal, mais ce style et fortement pourvu en frange dures. A l'époque le métal était bien moins vu (C'était une communauté plus repliée sur elle même, puis est venu Korn, limp bizkit, slipknot, deftones, linkin park qui ont considérablement populariser le style). C'était un moyen pour moi, un moyen de d'avoir le sentiment d'appartenir à un groupe, un moyen de socialisation. Mais même si j'avais des copains qui écoutaient la même chose, le sentiment de communauté était surtout dans ma tê

(my) life is music 2

En classe de troisième, un camarade m'a fait découvrir iron maiden. C'est un groupe de heavy metal, assez old school, genre cuir et coupe de cheveux ridicule. C'était un acte de rébellion, car il représentait ce que ma mère craignait le plus, le hard rock , musique du malin, avec allusion satanique à la pelle. Ça m'a plu pendant un moment, mais certaines choses me déplaisaient vraiment dans ce groupe, surtout les fringues. Je suis assez superficiel, de ce côté là, je suis assez attentif au look, à l'emballage visuel, que ce soit des musiciens, des films, des gens. Je suis assez exigent de ce côté là. J'ai trouvé cette année là, le groupe idéal : rage against the machine : engagé politiquement, bien plus agessif, et cool d'un point de vue vestimentaire. C'était le premier groupe que je voyais qui portait des baggy, au croisement des looks et attitudes rock et hip hop. C'était l'année de leur premier album. J'ai vraiment eu le coup de foudre po

(my) life is music 1

Primaire et collègePetit j'écoutais ce qui passait à la radio sans trop me poser de question, j'avais quelques frissons de tant à autre mais je n'avais pas de jugement, d'artiste préféré. Je me rappèle juste de quelques coup de coeur pour des titres trés tipés année 80 , tears for fear " sowing the seeds of love ", quelques singles de gainsbourg époque " you're under arrest " mais pas plus.Queen est le premier groupe dont je puisse dire avoir été fan, je connaissait " show must go on " qui était populaire à cette époque, mais c'est en écoutant le greatest hit vol 2 que j'ai été vraiment conqui. Chose assez amusante, bien des métalleux que j'ai pu croiser durant mes années lycée ont commencé leur éducation musicale avec queen. Ce que j'aimais et aime toujours d'ailleur chez ce groupe, c'est un sens inné de la mise en scéne et de la mélodie qui tue, et le haut niveau technique du guitariste (ah les solos de bryan m

Nine inch Nails : with teeth

Ça c'est le dernier CD que je me suis acheté. Nine inch nails c'est un groupe que je suis depuis le lycée, ce qui fait un bail. C'est étrange de suivre un groupe pendant longtemps ... tu avances , tes goûts changent et les artistes évoluent. Leur album précédent : « the fragile » était vraiment génial, bien plus calme que leur productions antérieures. Ici ils reviennent dans une veine plus agressives et plus torturée. J'aime bien moins, le compositeur trent reznor chante des textes assez adolescents, un brin décalé quand on sait que le mec se rapproche de la quarantaine ... au delas de la déceptions il y a quelques titres vraiment sympas : « the hand that feeds », « everyday is exactly the same », « right where it belongs ». J'ai tout de même préféré mon précédent achat « à l'origine » de benjamin Biolay. Les textes ne sont pas formidables, mais les chansons sont variées et sacrément bien produites.

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à remplir ulterieurement

here we go (again)

J’ai tenu un blog pendant plus d’un an. J’y consignais des réflexions, des critiques de produits culturels et j’y racontais un peu ma vie. À la rentrée 2006, j’ai décidé de le fermer. J’essaye de tracer une ligne plus claire entre ma vie privée et ma vie publique. Le nouveau blog que j’ouvre aujourd’hui est centré sur la critique et la réflexion sur des produits culturels. Je consomme beaucoup de livres, séries, films, musiques… et je craint ne rien en garder si je n’essaye pas d’avoir un minimum de recul. Il me semble important de pouvoir regarder ce que cette nourriture mentale et émotionnelle provoque en et sur nous. Je me rappèle qu’a la fac, j’avais autour de moi des personnes avec qui j’aimais discuter de mes dernières découvertes, ces échanges étaient instructifs , plaisants et vivifiants pour l’esprit. Depuis que je suis rentré dans la vie professionnelle j’ai quelques difficultés à trouver des personnes qui soient un minimum sur la même longueur d’onde que moi et qui soient au