Bon j'ai bien descendu ce vieux booba, mais je ne deteste pas le hip hop pour autant loin de là. J'en écoute régulièrement, mais ce n'est pas le rap de skyrock. Je ne suis pas fan des albums du wu-tang en tant que groupe, pas qu'il soit mauvais loin de là, mais ça fait trop de Mc en même temps pour moi. Par contre, j'aime bien le travail solo de quelques membre du groupe, les productions de RZA (par contre je n'aime pas ses albums), le premier album de Method man, et les disques de GZA/ genius.Le premier album de GZA/ genius diffusé en France, " liquid sword " (1995) a été une véritable baffe pour moi. Les productions sont sombres à souhait, le flow nerveux et les lyrics incisives. A la base je viens du métal, j'aimais bien les musiques, ténébreuses un brin tourmentées, là j'ai été servi.
Chez Google la multinationale basée en Californie vingt pour cent des ingénieurs sont des femmes. C’est peu mais on retrouve cette proportion dans beaucoup de grandes entreprises dans ce domaine. Le géant de l’informatique s’est engagé a changer les choses au travers de son processus de recrutement comme d’intenses campagnes de sensibilisation pour faire de ses bureaux un lieu de travail où les femmes pourraient s’épanouir. Si en apparence cela semble être une démarche louable et qui va dans le sens du progrès, il semble que cette approche est en train de se retourner contre le géant californien. James Damore, un ingénieur à Google a partagé (en interne) un mémo [1] en juillet 2017 questionnant la sensibilisation au sexisme à laquelle l’entreprise soumet ses employés. Le but était de provoquer une conversation et éviter d’être prisonnier d’une chambre d’écho où on ne pourrait entendre que la pensée unique du moment (Il préconisait de sortir d’une approche moralisante de
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