Primaire et collègePetit j'écoutais ce qui passait à la radio sans trop me poser de question, j'avais quelques frissons de tant à autre mais je n'avais pas de jugement, d'artiste préféré. Je me rappèle juste de quelques coup de coeur pour des titres trés tipés année 80 , tears for fear " sowing the seeds of love ", quelques singles de gainsbourg époque " you're under arrest " mais pas plus.Queen est le premier groupe dont je puisse dire avoir été fan, je connaissait " show must go on " qui était populaire à cette époque, mais c'est en écoutant le greatest hit vol 2 que j'ai été vraiment conqui. Chose assez amusante, bien des métalleux que j'ai pu croiser durant mes années lycée ont commencé leur éducation musicale avec queen. Ce que j'aimais et aime toujours d'ailleur chez ce groupe, c'est un sens inné de la mise en scéne et de la mélodie qui tue, et le haut niveau technique du guitariste (ah les solos de bryan may !).En même temps c'est la première fois que je voyais un homosexuel qui était fier de son identité sexuelle. Freddy mercury avait de ces tenues de scènes pour le moins extravagantes. Pour moi l'homosexualité était du domaine de l'abstraction, juste une idée. Je pense que les famous people issues des minorités ethniques, sexuelles, sociales , braquent les projecteurs sur leur milieu, et contribuent rendre la population plus tolérante et curieuse (l'essentiel et d'aller audela des préjugés).Queen : miracle . c'est mon album préféré (avec kind of magic, la bande originale du film highlander). C'est un album, trés pop, qui contient quelques titres phare de ce groupe. Le dernier titre de l'album " was it all worth it ", me donnais de grand frissons, il est audela d'une chansson, c'est un trip ( je n'ai retrouvé cette impression avec la même intensité avec " Outside " de david bowie cinq ou six ans après.
Chez Google la multinationale basée en Californie vingt pour cent des ingénieurs sont des femmes. C’est peu mais on retrouve cette proportion dans beaucoup de grandes entreprises dans ce domaine. Le géant de l’informatique s’est engagé a changer les choses au travers de son processus de recrutement comme d’intenses campagnes de sensibilisation pour faire de ses bureaux un lieu de travail où les femmes pourraient s’épanouir. Si en apparence cela semble être une démarche louable et qui va dans le sens du progrès, il semble que cette approche est en train de se retourner contre le géant californien. James Damore, un ingénieur à Google a partagé (en interne) un mémo [1] en juillet 2017 questionnant la sensibilisation au sexisme à laquelle l’entreprise soumet ses employés. Le but était de provoquer une conversation et éviter d’être prisonnier d’une chambre d’écho où on ne pourrait entendre que la pensée unique du moment (Il préconisait de sortir d’une approche moralisante de
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