Voici une vraie tuerie ! 
L’histoire tient sur un mouchoir à papier. Xerces, roi des perses qui se la raconte grave (genre moi je suis un dieux) étend son empire, il propose à sparte l’alternative soumission (quelque part entre colonisation et esclavage) ou destruction. Léonidas le roi des spartiates, ne l’entend pas de cette oreille, alors il viole traditions et les conventions politiques, lève une micro armée de 300 hommes, les meilleurs des meilleurs. Il s’en va mener la bataille mythique des thérmopiles.
la petite musique en fond sonore est de l'album "the fragile" de nine inch nails
Film de guerre, de muscle, de sueur et de sang… on n’est pas là pour admirer le paysage, lors du tournage c’était une bande catcheurs en slips se battant sur fond vert, sur l’écran c’est une débauche cinétique. On a le droit à toutes les poses héroïques possibles, des discours de motivations en contre plongée.
La violence est magnifique, très prenante, le réalisateur sais la mettre en scène et la filmer. Je n’avais pas sentis de frissons comparables depuis la scène dans l’arène de « Gladiator ».
Le travail sur la photo est remarquable, il confère au film un parfum irréel sans lequel il tomberait rapidement dans le ridicule.
L’histoire tient sur un mouchoir à papier. Xerces, roi des perses qui se la raconte grave (genre moi je suis un dieux) étend son empire, il propose à sparte l’alternative soumission (quelque part entre colonisation et esclavage) ou destruction. Léonidas le roi des spartiates, ne l’entend pas de cette oreille, alors il viole traditions et les conventions politiques, lève une micro armée de 300 hommes, les meilleurs des meilleurs. Il s’en va mener la bataille mythique des thérmopiles.
la petite musique en fond sonore est de l'album "the fragile" de nine inch nails
Film de guerre, de muscle, de sueur et de sang… on n’est pas là pour admirer le paysage, lors du tournage c’était une bande catcheurs en slips se battant sur fond vert, sur l’écran c’est une débauche cinétique. On a le droit à toutes les poses héroïques possibles, des discours de motivations en contre plongée.
La violence est magnifique, très prenante, le réalisateur sais la mettre en scène et la filmer. Je n’avais pas sentis de frissons comparables depuis la scène dans l’arène de « Gladiator ».
Le travail sur la photo est remarquable, il confère au film un parfum irréel sans lequel il tomberait rapidement dans le ridicule.
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